• LA PITUCA, c'est demain vendredi 27 janvier

    LA PITUCA, c'est demain vendredi 27 janvier

    Bailarinas, bailarines,

    En ces temps de grande confusion, j'ai longtemps cru que la taxe TOBIN était un thème de bossa-nova.

     D'ailleurs une mesure timide et simple, taxer les transactions sur les devises de 0,05 % au profit des pays indigents, aurait pu mettre d'accord la dame de fer et l'homme de Rio. Mais non, des intérêts supérieurs qui logent à la city ont renvoyé cette histoire au rayon des romans à clefs anglaises. Le mot d'ordre devant rester : "aux pays riches leur prés carrés, aux pays pauvres leur précarité". 

    Dans cette ambiance de capitalisme rococo on retrouve un soir un grand banquier suisse gisant sans vie dans une combinaison de latex : un crime déguisé.

    L'inspecteur Jouve est dépêché par Scotland Yard en remplacement de Sherlock Holmes qui s'est blessé en tombant dans le domaine public. Au terme d'une enquête impeccable, le coupable est confondu...

    Au passage the french inspector résout le mystère du monstre du Loch Ness qui selon lui n'est qu'un pommeau de douche. Incident diplomatique. La Grande Bretagne menace d'abandonner la zone euro. Les français font remarquer que l'Angleterre n'en a jamais fait partie. L'Allemagne déclare que les freins de la mercedes n'ont rien à voir dans la disparition de Lady Di.

    Quant à La Pituca, à considérer les problèmes des dettes souveraines, rappelons que la maison ne fait pas crédit.    

     


    A bailar,  

    Amed Yalouz, votre fournisseur en demi-lumières

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