• ★ Ce vendredi 2 octobre, DJ CAROLE PACHABEZIAN à La PITUCA ★

     
     
    Bailarinas, bailarines,
     
    Ce vendredi 2 octobreLa PITUCA confie ses platines à DJ CAROLE PACHABEZIAN (si y'a pas de Biagi, j'y vais pas).
     
    Pour cette nouvelle saison 2015-2016 qui démarre, notez un changement important dans l'agenda de l'association A Bailar Tango. Désormais, il n'y aura plus de Pituca le lendemain de la Santa Milonga (la Santa Milonga se déroule le 2ème jeudi de chaque mois de septembre à juin).
    Donc, La PITUCA sera fermée le vendredi 9 octobre.

    La Milonga du Gazette CAFE, milonga gratuite, débutera exceptionnellement le lundi 9 novembre et sera proposée une fois par mois, les semaines où la PITUCA n'a pas lieu (Lundi 9 novembre, Mardi 8 décembre, Mardi 12 Janvier, Mardi 9 février, Mercredi 9 Mars, Mercredi 13 Avril, Mercredi 11 mai).

     
    Pour une association, le début d'une saison, c'est généralement le moment de faire le point, de rappeler ce qui a été fait au cours de la saison précédente, de re-mobiliser les énergies autour du projet associatif.  
     

    Qu'est ce qu'on voit dans le rétroviseur ? Cette année passée, A Bailar tango a organisé 52 bals : 36 milongas La PITUCA dont 5 avec démonstrations (Andrés Molina & Ariane Liautaud / Carole Beauxis & Bernard Casas Reales / Paulina Cazabon & José Luis Gonzalez / John Zabala & Maria Filali / Diego Amado & Isabella Fusi) et 4 avec animations musicales (le duo Fuertes-Varnerin, deux fois le Cuarteto Cabernet, Oscar Miranda) et une précédée d'une conférence (Judith Maian), 13 Milongas du Musée dont 1 avec démonstration (Andrés Molina & Natacha Lockwood), 3 Milongas du Gazette Café dont une live (avec le Cuarteto Cabernet), 10 ateliers, 26 DJ'S invités : André Levréro, Andrés Molina, Ariane Liautaud, Benoit Galindo, Camille Boucher, Carole Pachabézian, Chloë Loizeau, Daphné Autran, Erna Dolcet, Fadela Aouad, François-Olivier Goulliart, Fréd Alart, Gérald Gardier, Jacques Lapeyre (Diego-Lyon), Jean-Luc Colas, Jérémie Sérra, John Zabala, Lalie Marion, Luciana Menendez, Marc Tommasi, Paul Vercaemst, Prasenjit Saha (Prasen), Sabina Gonçalves, Santiago Giachello, Sylvain Delhon, Thévanna Pichon-Arathoon.Les activités de l'association concernent ses nombreux  adhérents (plus de 500), mais touchent bien d'avantage de personnes, danseurs et non danseurs, à travers La Milonga du Musée et La Milonga du Gazette CAFE. Enfin, le site http://www.abailartango-lapituca.com/, qui se dédie pourtant uniquement aux activités de l'association, est souvent visité : du 26 sept 2014 au 27 sept 2015 (367 jours) 16566 visiteurs / 92816 pages vues (Moyenne mensuelle: 1380 visiteurs / mois // 7734,66 pages vues / mois).

    Conformément à ses statuts, pour l'instant l'association réserve la participation aux AG à ses membres actifs (ceux choisis par ses fondateurs et son bureau). Contrairement aux idées reçues, le fonctionnement d'une association ne se doit pas d'être forcément démocratique. La loi 1901 n'impose pas le principe d'égalité entre ses membres et les statuts peuvent notamment déterminer librement les conditions d'admission de ceux-ci aux organes dirigeants et délibératifs. Néanmoins, l'association proposera prochainement une réunion d'information à ses adhérents. Comme vous le savez, en plus de ces activités, beaucoup d'efforts ont été consentis pour donner naissance au "Salon de Tango", un lieu qui offre un niveau de sécurité élevé pour ses utilisateurs et un confort important en terme d'espace de danse, de performances acoustiques, d'agrément visuel, d'équipements techniques, de commodités diverses pour l'accueil du public, ... Une salle que nous envient beaucoup de tangueros d'autres villes et qui contente ses divers utilisateurs pour différentes activités. 


    A Bailar Tango ne donne pas de cours réguliers (seulement parfois des stages ponctuels avec des maestros invités). Les milongas qu'elle propose peuvent se définir comme "généralistes", elles célèbrent le répertoire musical du tango argentin dansé, dans sa diversité, sans viser un public en particulier. Une fois le cadre fixé, au final, ce sont les danseurs qui donnent le ton aux milongas. En ce qui concerne A BAILAR TANGO, à travers la mutualisation des moyens avec une autre association, DESDE El ALMA, elle démontre qu'elle inscrit son action dans un contexte collectif et collaboratif. Elle agit en réseau avec de nombreux autres acteurs (djs, maestros, organisateurs), notamment parisiens. Elle discute en bonne intelligence avec l'association TANGO ALEGRE pour proposer aux danseurs extérieurs des week end mobilisateurs (comme sont capables de les mettre en oeuvre nos confrères organisateurs à Marseille). Mais il est difficile de faire venir des danseurs de l'extérieur, quand dans une même ville les propositions sont peu harmonisées. Enfin, elle encourage les jeunes danseurs montpelliérains à se structurer, pour faire nombre dans les soirées, afin que les milongas leurs ressemblent un peu plus. 


    A ce propos, notre époque demande à sa jeunesse de travailler plus longtemps pour payer des dettes qui ne sont pas les siennes. Notre époque lui demande de cotiser d'avantage afin que les pays de l'est nouvellement intégrés à l'union européenne puissent atteindre en deux décennies le niveau de vie occidental. Notre époque leur demande de payer les retraites des babys boomers qui ont l'ambition de continuer à jouir sans entrave et de s'inscrire au marathon de New York pour fêter leur centenaire si ça leur chante. L'époque lui interdit quasiment d'avoir accès à l'achat d'un logement afin de lui faire profiter le plus longtemps possible des joies du plein air. Pour mettre un peu de piquant à la situation qui serait vraiment trop facile sans ça, notre époque lui demande de créer elle-même les emplois qu'elle a oublié de créer par étourderie. Par conséquent, la jeunesse pourrait bien être tentée de prier l'époque d'aller se faire voir chez Aristote.    


    C'est ce que font un peu ces danseurs de swing qui s'habillent comme dans les années 30 :  http://www.arte.tv/guide/fr/050789-000/swing-stories.

    A Bailar,
    Amed Yalouz, votre fournisseur en demi lumières

     
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    www.abailartango-lapituca.com

    https://www.facebook.com/ abailartango.montpellier

    http://elsalondetango.com/                         

    Contacts A Bailar Tango abailartango34@gmail.com

     

     A Bailar Tango  Association déclarée n°W343013351
    SIRET 537 835 985 00038 - APE 9001 Z

    Paul : 06.28.33.69.73  Thévanna : 06.77.39.72.29

    La PITUCA : Horaires : 21h30 > 2h

    PAF : 10€ (8€ avant 22h) / réduit 8€ (6€ avant 22h) grignotage inclus.

     

    Adhésion obligatoire pour la saison 2015-2016 : 10 € / tarif réduit 5 €

    Adresse de La PITUCA :"El Salón de Tango", 66 rue Léon MORANE FREJORGUES-OUEST / AEROPORT, 34130 MAUGUIO. Salle climatisée de près de 300 m2, un bar, un vestiaire, sono / lumière pro. Stationnement facile.

    ITINERAIRE 

    depuis Montpellier : Prendre la D66 en direction des plages et de l'aéroport de Montpellier - Méditerranée . Sortie aéroport de Montpellier. Au rond point prendre la première rue tout de suite à droite, rue Hélène Boucher (on passe devant l'entrée du grand magasin de jardinerie TRUFFAUT). Puis prendre la première rue à gauche, rue G. Guynemer (à l'angle se situe le magasin RETIF). Puis de nouveau prendre la 1ère rue à gauche, c'est la rue Léon MORANE, le 66 est au bout de la rue.

    depuis la A9 Nîmes / Béziers... sortie 29 Montpellier Est, au rond point prendre la 4ème sortie D66 en direction de l'Aéroport, CARNON, ...au bout de 2km prendre la sortie Aéroport. Au rond point prendre la première rue tout de suite  à droite, c'est la rue Hélène Boucher (on passe devant l'entrée du grand magasin de jardinerie TRUFFAUT).  Puis prendre la première rue à gauche, rue G. Guynemer (à l'angle se situe le magasin RETIF). Puis de nouveau prendre la 1ère rue à gauche, c'est la rue Léon MORANE, le 66 est au bout de la rue.